Hello, comment allez-vous ?
Dans ce billet, je voudrais simplement relayer une information qui a été pas mal diffusée ces derniers temps (même si des études sur le sujet ont déjà été publiées il y a plusieurs années), mais comme c'est une information que je juge importante, je voulais la partager avec vous. Peut-être que cette dernière étude nous permettra de revenir vers une alimentation plus saine et moins transformée ;)
Bien qu’il ne soit pas établi sans équivoque, l’affirmation des
scientifiques concernant l’existence d'un lien entre une alimentation fréquente de type fast-food et la maladie
d’Alzheimer, mérite d’être prise au sérieux.
Selon les scientifiques, cités par
le Guardian, les preuves établissant une relation entre la malbouffe et
l’Alzheimer s’accumulent.
L’Alzheimer, une forme de démence, commence à être reconnue comme une maladie métabolique. Certains scientifiques lui ont donné un nouveau nom : diabète type 3. Le New Scientist en avait fait sa une le 1er septembre.
L’Alzheimer, une forme de démence, commence à être reconnue comme une maladie métabolique. Certains scientifiques lui ont donné un nouveau nom : diabète type 3. Le New Scientist en avait fait sa une le 1er septembre.
Selon la récente étude, manger trop gras empêcherait les cellules du cerveau de réagir correctement face à l'insuline. Les chercheurs ont pour cela étudié les cerveaux de 54 cadavres, dont 28 de personnes qui sont mortes de la maladie d'Alzheimer. Ils ont constaté dans un premier temps que les niveaux d'insuline étaient beaucoup plus faibles chez les personnes atteintes de la maladie.
L'insuline est une hormone secrétée par le pancréas et agit comme une clé qui ouvre une porte pour laisser entrer le glucose (sucre) dans les cellules de notre organisme pour qu'elles puissent le convertir en énergie. Dans le cerveau, l'insuline sert notamment à réguler la transmission de signaux d'une cellule nerveuse à l'autre, et à réglementer les actions chimiques pour la mémoire et l'apprentissage. Ainsi, s'il n'y a pas assez d'insuline dans notre cerveau, cela crée des troubles mentaux pouvant amener à la démence et à la maladie d'Alzheimer.
Si aujourd'hui environ 35 millions de personnes dans le monde souffrent de cette maladie, les prévisions actuelles, basées sur la vitesse à laquelle la population vieillit, suggèrent que ce nombre passera à 100 millions en 2050. "Une personne sur trois qui aura plus de 65 ans sera atteinte de démence" déclare le professeur Clive Ballard, directeur de la Société de recherche sur Alzheimer. Cette découverte pourrait donc permettre d'accélérer la recherche de nouveaux traitements contre la maladie d'Alzheimer.
(source : France Info)
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